Mise en place d’un transport communal

À compter du 18 mai, la Ville et le CCAS de Penmarc’h mettent en place un service de transport dédié aux personnes de plus de 70 ans et aux personnes à mobilité réduite. Ce transport fonctionnera le vendredi matin tous les quinze jours, entre 9h et 12h30, et ce jusqu’au 19 octobre.
L’idée est de desservir un maximum d’endroits de la commune afin de permettre à nos ainés de se rendre au marché de St Guénolé, à l’EHPAD pour rendre visite à un ami, dans les commerces pour faire quelques courses, ou simplement pour une promenade.
Deux circuits sont proposés avec des horaires de passage définis. Les arrêts utilisés seront ceux des lignes régulières sauf exception. Toutes les indications seront données à l’inscription.
Une participation de 10€ pour toute la saison est demandée aux utilisateurs de ce service. Malheureusement, le minibus ne permet pas le transport de personne en fauteuil roulant.
Pour en bénéficier, rien de plus simple, il suffit de contacter dès à présent le CCAS au 02 98 58 44 45

Photo à la une : Hervé Vaillant, Marie-Claire Dupont, adjoints, Charlotte Le Pichon, responsable du CCAS et Stéphane Le Coz, conducteur du minibus

Penmarc’h, labellisée ville internet 2@

Le 8 février, la ville de Penmarc’h a été distinguée ville internet 2@ (sur un total de 5@), à l’occasion de la cérémonie de remise de ce label qui s’est tenue au Palais de la Porte Dorée (Paris) en présence du Maire de la commune, Raynald Tanter, accompagné de Jean-Louis Buannic et Éric Raphalen, adjoints. Un résultat plutôt encourageant pour une première participation. À titre comparatif, la ville de Cesson Sévigné, située en périphérie de Rennes, a reçu la même distinction.

Ce label est une reconnaissance du travail effectué conjointement entre les agents et les élus de la commune. Il valorise les différentes mesures réalisées depuis plusieurs années dans le domaine du numérique. Une vingtaine d’actions, classés par catégories, ont été présentées puis évaluées par un jury composé de professionnels.

Cette politique numérique de la commune concerne de nombreux domaines. L’exemple du site internet de la commune, refondu intégralement, le prouve. En effet, en y accédant il est possible de consulter des informations relatives à la vie publique locale (magasines municipaux, procès-verbaux du conseil municipal…), à la vie des écoles (menus du restaurant scolaires…), à la vie culturelle (programmation de la salle Cap Caval, du cinéma…) ou encore être aidé pour ses démarches administratives en accédant aux formulaires. Mais la politique numérique de la commune ne se limite pas au site internet puisque des actions telles que la mise en place d’une application permettant de recevoir les actualités sur son smartphone (Citykomi) ou encore l’installation de tableaux numériques dans les écoles ont bonifié le dossier de la commune.

D’autres actions seront réalisées prochainement, la mise en place d’un panneau numérique à l’entrée de la commune en est un exemple concret. Autant de projets qui permettront à Penmarc’h de viser la troisième arobase.
« On peut être situé à la Pointe et être en pointe”, a souligné Éric Raphalen, adjoint chargé de la communication et de l’information.

Photo à la une : Éric Raphalen et Jean-Louis Buannic, adjoints, devant le panneau apposé à l’entrée de ville

Concours des jardins et balcons fleuris, inscrivez-vous dès maintenant

Fleurir la ville est l’affaire des jardiniers municipaux mais c’est également une démarche à laquelle de très nombreux habitants Penmarc’hais s’associent. Afin de récompenser leurs efforts, la municipalité a décidé de lancer son cinquième concours des maisons fleuries. Les inscriptions sont dès à présent ouvertes.

Un jury, composé d’élus et de jardiniers professionnels, se rendra chez chacun des participants afin de découvrir les réalisations. De nombreux critères entreront dans la notation des juges. L’aspect esthétique des végétaux, bien sûr ; le mobilier de jardin et les éléments de décoration, mais également les efforts en matière de protection de l’environnement seront largement pris en compte. La gestion de l’eau, l’utilisation raisonnée de produits chimiques, feront partie intégrante de la note, tout comme les actions en faveur du domaine public (l’entretien et la propreté du trottoir par exemple).

Trois catégories sont créées : les maisons avec jardin, les balcons terrasses ou pas-de-porte et les espaces le long de la voie publique. Pour chacune de ces catégories, un prix sera attribué.

Pour s’inscrire, il suffit de remplir un formulaire en cliquant sur le lien ci-dessous ou de remplir un bulletin d’inscription disponible à l’accueil de la mairie de Penmarc’h.

Cliquez sur le visuel pour télécharger le formulaire

Penmarc’h sur Twitter

La commune poursuit sa conquête des réseaux sociaux. Après la création en 2014 d’une page Facebook, dont l’actualité est désormais suivie par plus de 2500 personnes, la ville s’installe doucement sur Twitter. Gageons que les gazouillis de Penmarc’h sur cette application seront aussi appréciés que nos publications sur le réseau social cher à Mark Zuckerberg.

Suivez-nous sur https://twitter.com/villedepenmarch

Enherbement des cimetières : une solution alternative

José Berthaud, représentant de la société Kabelis, Raynald Tanter, maire, Jean-Louis Buannic, Nathalie Poulard, adjoints et Christian Burel, conseiller délégué

À la fin de l’année dernière, la municipalité a décidé d’enherber le cimetière de Kérity, une solution alternative pour ne plus recourir aux produits phytosanitaires tout en gardant des coûts de main-d’œuvre acceptables. En effet depuis le 1er janvier 2017, la loi interdit d’utiliser ces produits toxiques sur les espaces verts accessibles au public. Bien que les cimetières ne soient pas encore concernés, ils le seront très prochainement.

Fidèle à son engagement zéro phyto et anticipant la réglementation, la municipalité a choisi de continuer à enherber ses deux autres cimetières. Après celui de Kérity, traité manuellement et dont le résultat tout en étant satisfaisant reste perfectible, c’est à St Guénolé et au Bourg de bénéficier d’un procédé plus abouti.

L’hydroseeding, une technique rapide et efficace

Le 20 mars dernier, à l’initiative de Mathieu Jaouen, responsable du service espaces verts, la municipalité organisait une rencontre avec la société Kabelis, entreprise basée à Plouigneau dans le Nord Finistère. Une trentaine de représentants de collectivités telles que Quimper, Plomelin, Châteaulin, Le Juch, Plovan ont répondu à l’invitation. Ils ont assisté avec beaucoup d’intérêt à une présentation du procédé hydroseeding à la Maison pour Tous ainsi qu’à une démonstration réalisée au cimetière de St Guénolé.

Cette technique consiste à projeter un mélange composé d’eau, de mulch ou paillis, d’un fixateur, d’un engrais organique et d’un activateur de germination et d’enracinement. Ceci afin de favoriser un enracinement rapide et durable du gazon sur sols pauvres.

Pour les cimetières de St Guénolé et du Bourg, 2 jours ont suffi aux services techniques pour procéder à cette opération. L’hydroseeder, la machine servant à malaxer et projeter le substrat, a été loué en partenariat avec la mairie de Plonéour Lanvern afin de limiter les coûts de location et d’acheminement. Pour Penmarc’h, ces 2 cimetières représentent une surface de 2 700m², l’opération revient à 1€ le m².

Les autres avantages de ce procédé

> Il assure une germination, un enracinement rapide et en profondeur du gazon, les premières pousses apparaissant au bout d’une semaine ou deux.
Le substrat au sol permet une rétention de l’eau, évitant un arrosage intensif. Les fibres préservent également les graines des effets du vent et de l’érosion par l’eau.
En se décomposant, les fibres apportent un complément nutritionnel au sol.
> Il donne un meilleur rendu du fait de l’homogénéité de l’ensemencement.

En Loire Atlantique, certains cimetières sont enherbés de cette façon depuis 15 ans
Le résultat est satisfaisant et concluant. L’opération est à renouveler en général tous les 10 ans.

Cérémonie du 19 Mars 1962

Lundi 19 Mars, Raynald Tanter, maire, a rendu hommage aux victimes de la Guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc. Le cessez-le feu du 19 Mars 1962, issu des Accords d’Évian, mettait fin à huit années de conflit. De nombreux Penmarc’hais étaient présents pour commémorer cet événement.

Par ailleurs, Raynald Tanter a salué la mémoire d’Alexandre Bosser, ancien président de la Fédération Nationale des Anciens Combattants en Algérie (FNACA), disparu en février dernier.

À la fin de son discours, le maire et les jeunes du CMJ,  dont cette cérémonie officielle fut la première depuis leur élection, ont salué les porte-drapeaux.

Message de Geneviève Darrieussecq
Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées
Journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et

au Maroc

19 mars 2018

« En cette journée nationale, la France rend un hommage solennel à toutes les victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc.
Le cessez-feu du 19 mars 1962, issu des Accords d’Evian, annonçait la fin prochaine d’une guerre alors sans nom. Sur les deux rives de la Méditerranée, entre soulagement et blessures, il engendra des sentiments puissants et divers. Pour tous, il y eut un avant et un après. Aux victimes d’avant le 19 mars s’ajoutèrent, les mois suivants, les milliers de drames d’une transition violente.
Aujourd’hui, dans un même hommage, la France pense à toutes les douleurs et à toutes les souffrances, à toutes les familles déchirées et endeuillées, à celles et ceux qui ont enduré la guerre dans leur chair et dans leur esprit.
Aujourd’hui, sans distinction, la Nation adresse sa reconnaissance et sa solidarité.
Aujourd’hui, la France honore toutes les mémoires.
Celle des soldats morts pour la France ou blessés, celle des appelés et rappelés du contingent, des militaires de carrière, des forces de l’ordre de métropole et d’Afrique du Nord.
Celle des civils de France ou d’Algérie qui eurent à subir l’angoisse, les violences et les attentats.
Celle des Français d’Algérie pour qui cette date signifiait la fin douloureuse d’une histoire parfois multigénérationnelle et qui durent commencer une vie nouvelle.
Celle des membres des forces supplétives, des harkis, qui avaient fait le choix de la fidélité à la France. Les semaines qui suivirent furent celles des représailles et de l’exil dans une métropole qui, entre incompréhension et ignorance, manqua à son devoir d’accueil.
Celle des disparus civils et militaires.
Ces années de guerre ont durablement marqué notre société. Soixante ans après 1958, nous nous souvenons qu’elles ont eu pour conséquence la transformation durable de notre République.
Ces déchirures sont désormais une part de notre histoire nationale mais leur souvenir est encore vif dans notre mémoire collective. Porter un regard lucide et objectif sur ces années doit permettre à la communauté nationale de cheminer vers une mémoire apaisée.
Témoigner, expliquer et partager, sont un impératif afin que, des deux côtés de la Méditerranée, les jeunes générations, préparent l’avenir ensemble. »

Cérémonie citoyenne : les jeunes reçoivent leurs cartes électorales

Vendredi 16 mars, la municipalité a organisé une cérémonie citoyenne de remise des cartes électorales. Sur les trente-huit jeunes Penmarc’hais qui ont eu 18 ans dernièrement, 15 étaient présents. Majeurs, ils peuvent dorénavant passer le permis de conduire et s’inscrire sur les listes électorales. Voter est un droit mais aussi un devoir citoyen qui permet de s’exprimer sur ses choix et de faire part de ses opinions. C’est surtout un bien précieux et il n’est pas inutile de le rappeler à ces jeunes adultes. C’est Marie-Claire Dupont, première adjointe au maire, qui a eu l’honneur de remettre officiellement les cartes électorales et le livret du citoyen. Félicitations à chacun.

Mise en fourrière des véhicules

Depuis le début de l’année, le policier municipal a procédé à la mise en fourrière de plusieurs véhicules. Pour l’amélioration du cadre de vie et pour lutter contre la pollution des sols ou visuelle la Police Municipale procède à l’enlèvement des véhicules épaves, en stationnement abusif ou en stationnement contrevenant au Code de la Route dans certains cas.

Un véhicule peut être mis en fourrière dans les cas suivants :

L’immobilisation et la mise en fourrière d’un véhicule peuvent être décidées afin de préserver la sécurité des usagers de la route, la tranquillité et l’hygiène publiques, l’esthétique des sites et paysages classés, le bon état de la voirie.
Notamment en cas d’entrave à la circulation, stationnement gênant, très gênant, abusif (plus de 7 jours consécutifs en un même point) ou dangereux, défaut de présentation aux contrôles techniques ou de non-exécution des réparations prescrites, infraction à la protection des sites et paysages classés, véhiculé immobilisé pour une infraction qui n’a pas cessé après 48h.

Une fois mis en fourrière, un véhicule est classé soit :

• en 1ère catégorie, véhicule valeur supérieur à 765€ pouvant être restitué en l’état
• en 2ème catégorie, véhicule valeur supérieur à 765€ pouvant être restitué après travaux
Vous disposerez alors de 30 jours pour récupérer votre véhicule. Au-delà le véhicule sera aliéné pour être vendu aux enchères par les « domaines »
Une 3ème catégorie existe: véhicule valeur inférieur à 765€, à récupérer sous 10 jours, au-delà, le véhicule sera aliéné pour être livré à la destruction.

Si votre véhicule a été mis en fourrière, pour le récupérer vous devrez :

Vous présentez à la Police Municipale aux jours et heures ouvrables muni du certificat d’immatriculation, de l’attestation d’assurance du véhicule et de votre permis de conduire.
Une mainlevée vous sera alors délivrée. Seul ce document peut permettre la sortie d’un véhicule de la fourrière.
Cette mainlevée sera à présenter au fouriériste qui après paiement des frais vous restituera votre véhicule.