École Auguste Dupouy : des initiations au baby hand

Pour la deuxième année consécutive, les élèves de maternelle de l’école Auguste Dupouy ont bénéficié de six séances de baby hand, du handball pour les 3-5 ans. Les vingt et un élèves étaient répartis en deux groupes dans la salle de motricité de l’école. L’activité était animée par le club de handball de Loctudy.  « Les enfants ont beaucoup apprécié, certains se sont même entraînés chez eux pour améliorer leurs performances. Nous sommes tous très contents de cette initiative » commente l’enseignante Magali Bellier de Villentroy. Cette activité ludique permet de solliciter l’ensemble des muscles : course, saut, lancer de ballon, etc. La pratique permet également de développer la coopération en équipe ainsi que la prise de décision. La dernière séance s’est terminée par un match. Le coût des six séances s’élève à 180 euros, financé en intégralité par l’association des parents d’élèves.

Un voyage autour du monde

Le programme pédagogique des maternelles se décline cette année autour des continents avec des lectures, de la musique, des ateliers culinaires avec des dégustations. « Nous avons une école cosmopolite avec des élèves originaires de plusieurs pays » explique l’enseignante. « Plusieurs parents font découvrir leur culture dans les classes pour le plus grand plaisir de tous ».

Des activités sont proposées régulièrement à l’école : classe de découverte, sensibilisation à l’environnement, cycle roller, découverte du rugby, initiation au breton…

Les pré-inscriptions pour la rentrée de septembre se font dès à présent à la mairie de Penmarc’h auprès du service enfance-jeunesse. Contact : 02 98 58 41 51 – 06 07 21 37 16

 

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Musée de la Préhistoire, des étudiants imaginent son devenir

Des étudiants des beaux-arts et de l’institut géo-architecture se sont penchés sur le devenir du musée de la Préhistoire à Pors Carn. Après avoir rencontré les acteurs du territoire et diffusé un questionnaire en ligne, ils ont présenté un diagnostic sous forme de cinq propositions.

Le contexte

Le musée de la Préhistoire est fermé depuis janvier 2020. La vétusté du bâtiment ne permettait plus d’accueillir des visiteurs. Les collections, dont une partie est classée aux monuments historiques, ont été déplacées au Centre départemental d’archéologie au Faou. L’Université de Rennes 1 reste propriétaire du bâtiment, cependant elle s’est désengagée de toute activité depuis 2012. La CCPBS en a assuré la gestion de 2014 à 2020. Jusqu’à sa fermeture, le musée accueillait 6.000 visiteurs chaque année. Le comité de soutien bataille pour réhabiliter le bâtiment centenaire. Le site a un fort potentiel, le musée est idéalement situé face à la plage de Pors Carn, sur le sentier de randonnée le GR 34. Les habitants sont attachés à son histoire.

Le diagnostic

Des étudiants de l’école des beaux-arts et de l’institut géo-architecture ont réalisé un diagnostic dont l’objectif est d’impulser un nouveau souffle au musée. Ils ont sondé les habitants et les acteurs du territoire, sur le terrain et via un questionnaire en ligne. « Les étudiants sont allés sur le terrain. La réflexion a été menée conjointement avec la municipalité et le comité de soutien. Cinq projets en sont sortis, l’idée est d’avoir un musée qui fait le lien entre l’histoire du site jusqu’à aujourd’hui, de réhabiliter l’ancien en le modernisant. C’est un lieu emblématique qui raconte l’histoire des premiers peuplements » explique Lionel Prigent, directeur de laboratoire en géo-architecture à l’Université de Brest.

Cinq projets présentés

Cinq groupes d’étudiants ont mené des réflexions en tenant compte des spécificités du site et du bâtiment. Le premier projet propose de conserver le musée en lui donnant un caractère maritime. Les étudiants ont imaginé des expositions temporaires avec des résidences d’artistes. Le second revoit une restructuration complète. Le bâtiment serait alors divisé en deux parties distinctes avec d’un côté des expositions et de l’autre l’aménagement d’une auberge pour accueillir les randonneurs et un pôle médical. Le troisième propose de reconnecter le passé aux dynamiques actuelles en valorisant le patrimoine et en le reconnectant à son environnement. Les espaces seraient divisés en deux paries avec un lieu d’exposition regroupé avec un bureau d’informations touristiques, et d’un espace mixte accessible aux associations et pour les événements saisonniers. Pour le quatrième, les étudiants ont imaginé une salle partagée avec un endroit culturel, des locaux pour les associations et une salle de sports. Et enfin, le cinquième projet prévoit un lieu de résidence pour les artistes, auteurs, scientifiques… avec un espace de vie, et une exposition ouverte sur la mer.

Ces cinq scénarios conservent l’idée d’un centre d’exposition associé à un autre usage différent. « Vous avez apporté des regards nouveaux sur le musée, des regards tournés vers la nature et la lumière » commente Gilles Bernard, adjoint municipal à la culture. « Vous avez bien analysé les besoins, les habitants sont très attachés au musée. Cependant, il n’appartient pas à la ville. À quoi s’attendre dans les prochaines années ? Ce musée a des particularités : son environnement, sa situation géographique exceptionnelle, un potentiel avec une toiture inexploitée… » explique Yohan Madec, responsable du pôle culturel à la ville. “D’autres questions se posent, le musée appartient toujours à l’Université de Rennes 1. Qui va porter ce projet, le financer ? Quel sera son statut juridique ?”

De son côté, le comité de soutien n’en démord pas. Le musée de Pors Carn doit subsister avec ses collections. « C’est un site classé aux Monuments historiques qui retrace l’histoire humaine depuis 500.000 ans » commente Christian Lioto, président du comité de soutien. « Le musée a été créé en 1925, il ne faut pas effacer ce qui existe depuis plus de 100 ans, il faut en faire un musée du 21ème siècle.”

Tant que l’Université de Rennes 1 restera propriétaire, aucun projet ne pourra être envisagé. Ces cinq scénarios feront-ils avancer les choses ? Un terrain d’entente sera t’il enfin trouvé ?

Légendes photos : les étudiants des beaux arts et de l’institut géo-architecture ont présenté leurs projets le 28 mars à la Maison pour tous.

 

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École Thomas Donnard, des cours de récréation végétalisées

À l’école Thomas Donnard à Saint-Guénolé, les deux cours de récréation retrouvent progressivement de la verdure dans le cadre du projet Chifoumi.

En quoi cela consiste ?

La municipalité a répondu à l’appel à projet Chifoumi. Il s’agit d’une consultation groupée et expérimentale, coordonnée et pilotée par le CAUE du Finistère (Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement) pour une transformation ludique des cours d’école et une évolution des pratiques. Le collectif Yakafokon et l’agence Croute ont été retenus pour mener ce chantier participatif avec les élèves, enseignants, agents municipaux des services techniques et des espaces verts. “L’équipe pédagogique, élèves et agents communaux se sont emparés du projet depuis son lancement. Il y a une belle synergie entre eux” explique Gilles Bernard, adjoint municipal. “Ils sont tous mobilisés tous pour mener à bien ce projet”.

De la réflexion à la concrétisation

Une concertation a été réalisée avec tous les élèves, de la maternelle au primaire, et les enseignants afin que chacun exprime ses souhaits. Les spécificités des lieux ont été aussi pris en compte : environnement, proximité avec la mer, l’histoire de l’école… Un plan d’aménagement a été présenté à la municipalité fin décembre. Puis « les travaux ont débuté aux vacances de février, environ 80 tonnes de bitume ont été enlevées dans les deux cours. » explique Mathieu Jaouen, responsable des espaces verts. « Les travaux et les aménagements sont entièrement réalisés en régie par les agents communaux. » « L’idée consiste à réinventer les espaces, remettre du végétal, sortir des cours bétonnées et créer des zones ludiques ».
Les travaux ont bien avancé, les nouveaux espaces ont été délimités. Dans la cour des primaires, une énorme buse a été transformée en tunnel ; des troncs de cyprès, arrachés par la tempête Ciaràn, servent désormais de totems… Actuellement, chaque enfant participe à la plantation des végétaux pour leur plus grand plaisir. « Il y a une belle synergie, le calendrier s’est tenu à toutes les étapes » souligne Gilles Bernard. La dernière phase sera réalisée entre le 28 avril et le 7 mai, des éléments graphiques compléteront l’ensemble.

Quel est le coût de cette transformation ?

Le coût pour la collectivité est de 50 000 euros TTC, sachant que la commune bénéficie de l’appui du CAUE pour mener à bien ce projet. « La municipalité prévoit de mener un projet similaire à l’école Auguste Dupouy » au bourg.

Photo à la une : l’heure est à la plantation à l’école Thomas Donnard.

 

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PADD, le projet d’aménagement et de développement durables

Le 9 janvier 2025, les 12 conseils municipaux de la CCPBS se sont réunis pour débattre du projet d’aménagement et de développement durables (PADD). Le conseil communautaire s’est réuni à son tour le 6 février 2025.

Qu’est-ce que le PADD ?

Il exprime le projet politique global de la collectivité et constitue la pièce maîtresse du PLUiH.

Il trouvera une traduction dans les pièces réglementaires, notamment plan de zonage (délimitation des zones urbaines, à urbaniser, agricoles et naturelles) et le règlement écrit qui fixe les règles d’utilisation des sols (implantation des constructions, hauteur, aspect extérieur, etc.) qui s’appliqueront lors de l’instruction des différentes demandes d’autorisation d’urbanisme (permis d’aménager, permis de construire, etc.).

Sobriété et transitions au cœur du projet. Le diagnostic établi au préalable a permis de dégager les principaux enjeux pour répondre aux besoins actuels et futurs du territoire en matière de logement, de déplacements, d’économie, d’équipements, etc. Ainsi, au regard de la sensibilité du territoire (ressource en eau, espaces naturels, risques littoraux, dimensionnement des équipements, etc.), le PADD a été élaboré en suivant un fil conducteur : le respect de la capacité d’accueil du territoire.

Le projet est organisé autour de deux axes principaux :

1. Accueillir et maintenir les habitants dans le respect des ressources disponibles.

Cela passe par un aménagement qui garantit la qualité et la durabilité des ressources, avec des actions comme :

  • La préservation des milieux naturels et de la ressource en eau.
  • L’adaptation du territoire face aux risques littoraux.
  • Un développement mesuré de la population dans une logique de sobriété foncière et énergétique.
  • La garantie d’une offre de logement « abordable » de qualité pour s’adapter à tous types de foyers, dans un contexte d’intensification urbaine.

2. Un développement durable du littoral et de l’économie locale

Cela implique d’accompagner l’évolution des piliers de la vie socio-économique et d’assurer la diversification économique du territoire en :

  • Maintenant les savoir-faire et les emplois maritimes, artisanaux et agricoles.
  • Favorisant les logiques de proximité et de complémentarité entre l’offre commerciale en centre-ville/bourg et en périphérie.
  • Valorisant l’identité bigoudène par son patrimoine.

La durabilité des activités économiques est également une priorité avec des actions comme :

  • La protection des terres agricoles, le soutien aux circuits courts et le rapprochement entre les emplois et les lieux d’habitation.
  • La réduction de la dépendance à la voiture en favorisant les aménagements de proximité

Téléchargements

Projet d’aménagement et de développement durables complet.
Délibération du conseil communautaire.

 

02 98 87 80 58
www.ccpbs.fr

Frelons asiatiques : c’est le moment de piéger les reines

La municipalité renouvelle son opération pour éradiquer les frelons asiatiques. Elle offre un piège aux habitants qui en font la demande en mairie. Dès la mi-mars, les reines sortent de leur hibernation. C’est le moment propice pour les capturer et éviter les proliférations.

Un prédateur dangereux pour la biodiversité et pour l’homme

Le frelon asiatique est une espèce invasive qui s’est acclimatée à notre environnement. Il est facilement identifiable, il se distingue du frelon commun par son corps noir et ses pattes jaunes. Il prolifère rapidement et en grande quantité. Il s’attaque principalement aux abeilles et peut être dangereux pour l’homme. “Avec le retour du soleil, les reines fondatrices sortent de leurs abris. Le mois de mars est la période propice pour les capturer.” expliquent Ronan Tanguy et Jean-Luc Levert, apiculteurs sur la commune. “Pendant cette période et jusqu’à fin mai, elles recherchent elles-mêmes de la nourriture et sont seules à assumer la survie de la colonie jusqu’à la naissance des premières ouvrières. Un essaim à lui seul consomme en moyenne 11 kg d’insectes par an, c’est une menace pour la biodiversité.”

Cliquez sur le visuel pour l’agrandir

Des pièges offerts aux habitants

“Comme l’année dernière, la municipalité offre des pièges tap trap pour sensibiliser les habitants” explique Gilles Mercier, conseiller municipal en charge de l’environnement. Le piège se fixe sur le goulot d’une bouteille en plastique. Il est à positionner en hauteur entre 1,5 et 3 mètres, à proximité des lieux de passage des frelons. Une notice explicative est fournie avec le piège (voir document ci-joint).

Un plan national

Une proposition de loi a été adoptée le 06 mars à l’Assemblée nationale. Elle vise à élaborer rapidement un plan national de lutte contre ce prédateur, puis à l’étendre aux départements.

Photo à la une : Jean-Luc Levert et Ronan Tanguy, apiculteurs sur la commune ; Mathieu Jaouen, responsable des espaces verts et Gilles Mercier, conseiller municipal, présentent le piège tap trap

 

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Conférence : la nature protégée, mercredi 02 avril

Pour la troisième année consécutive, la ville de Penmarc’h organise un cycle de trois conférences sur le changement climatique pour comprendre et s’adapter. La nature protégée est la thématique qui sera présentée le mercredi 02 avril à 18h30 à la salle Cap Caval, sous forme d’une table ronde avec une interaction avec le public.

Yves-Marie Paulet, François Le Loc’h et Pascal Le Floc’h, chercheurs à l’Institut universitaire européen de la mer, parleront des aires marines protégées et des réserves naturelles. Ils évoqueront les enjeux liés à la pêche, la gestion des ressources et les outils de pêche. Solenne Le Guennec, coordinatrice du comité des pêches et des cultures marines du Finistère, partagera sa vision sur les conditions et l’avenir de la filière.

Pascal Le Floc’h est professeur en économie à l’UBO, directeur adjoint de l’UMR Amure – Droit et économie de la mer à l’IUEM. Il présentera les métiers de la pêche et la gestion des ressources. Il fera notamment un focus sur la sardine.

François Le Loc’h est chercheur et directeur de recherche à l’IRD (Institut de recherche pour le développement) à l’IUEM (Institut Universitaire Européen de la Mer) de Plouzané. Il parlera des enjeux actuels de la pêche et de la gestion des ressources.

Yves-Marie Paulet, biologiste et écologue des systèmes marins, professeur émérite à l’Université de Bretagne occidentale et ancien directeur de l’IUEM. Il partagera ses connaissances sur les aires marines protégées et les réserves naturelles. Quels outils sont envisagés pour maintenir une pêche durable ?

Solenne Le Guennec est coordinatrice du comité des pêches et des cultures marines du Finistère. Elle accompagne et défend les intérêts de la filière. Elle partagera sa vision sur les nouvelles réglementations et les enjeux.

Un comité scientifique à Penmarc’h

Ces rencontres sont organisées avec Philippe Davy qui pilote le comité scientifique à Penmarc’h. À ses côtés : Éric Calais, académicien et géologue-géophysicien ; Yves-Marie Paulet, chercheur au Laboratoire des sciences de l’environnement marin et professeur des universités ; Pascal Le Floc’h, enseignant chercheur en économie maritime et François Le Loc’h, chercheur et directeur de recherche à l’IRD à l’IUEM. Ces scientifiques habitent le Finistère et connaissent bien le Pays Bigouden, ils ont un intérêt local.

En pratique. Mercredi 02 avril à 18h30 à la salle Cap Caval. Entrée libre, ouverte à tous les habitants du territoire.

Photo à la une : le port de Saint-Guénolé – Crédit : Auteurs de Vues

 

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Camping municipal : une solution d’hébergement pour les saisonniers

Pour les travailleurs saisonniers, trouver un logement en période estivale s’avère souvent compliqué, c’est parfois un frein de recrutement pour les employeurs penmarc’hais. La municipalité propose une solution d’hébergement au camping municipal. Les saisonniers y compris ceux du secteur privé, peuvent bénéficier d’un emplacement pour tente ou caravane à des tarifs très avantageux. Un bungalow a été aménagé avec un coin cuisine et un espace de détente, c’est un endroit convivial pour se retrouver après une journée de travail, à l’abri.

Le camping municipal

Le camping Toul ar Ster est ouvert du 01 avril au 30 septembre. Les travailleurs bénéficient des mêmes services que les vacanciers. Le camping est équipé de blocs sanitaires récemment rénovés, accessibles aux PMR (Personnes à mobilité réduite), d’une laverie avec lave-linges et sèche-linges. Plusieurs services sont proposés : glaces à rafraîchir, jetons de lavage, adaptateurs électriques, réception et expédition du courrier, wifi gratuit. Pour se détendre, il y a un terrain de pétanque, un terrain de volley, une salle polyvalente avec une télévision, des jeux de société, un babyfoot et un coin bibliothèque.

Contact : Camping municipal Toul ar Ster – 355, rue Toul ar Ster à Penmarc’h – 02 98 58 86 88 – campingpenmarch@orange.fr

 

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Cancer du sein. Des ateliers gratuits pour accompagner les malades et les personnes en rémission

Santé Bigoudène et la PenmaR’Ose, deux associations penmarc’haises proposent des ateliers ouverts aux habitants du Pays Bigouden qui sont ou ont été confrontés au cancer du sein. Ces ateliers de soins confort sont gratuits, ils auront lieu d’avril à juin, les mardis à 10h30 à la Maison pour tous au bourg de Penmarc’h, à raison de dix séances au total.

Trois types d’ateliers :

  • Activité physique adaptée, animée par Marion Pardo, kinésithérapeute retraitée et bénévole. Elle s’adaptera aux différentes pathologies en proposant une gym de réhabilitation physique. 
  • Activité bien-être avec Béatrice Tande, sophrologue. Cette activité permettra aux participants de se reconnecter à eux-mêmes et d’apprendre à gérer les douleurs en travaillant la respiration.
  • Activité manuelle avec Lilou Le Mot. L’activité se fera autour d’une pièce de crochet afin de permettre aux participants de s’évader et surtout de retrouver ou maintenir un lien social. Le cancer peut amener la perte des repères et le besoin de se couper du monde extérieur. 

Un appel à projets

Santé Bigoudène a répondu à un appel à projets de l’association la PenmaR’Ose, qui lui fait don de 1 500 euros. « Une femme sur huit est concernée par le cancer du sein au cours de sa vie. La Bretagne fait partie des régions où les femmes se font le plus dépister, explique Morane Gouyen, responsable du projet. Il est important de savoir que la pratique d’une activité physique diminue de 24 % le risque de récidive et de 28 % le risque de décès. »

Pratique. Inscriptions et renseignements en contactant Santé Bigoudène – 02 98 58 55 69 – pds@santebigoudene.fr

Photo à la une : les organisateurs et les animateurs des ateliers (crédit Ouest France)

 

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Conseil municipal : mercredi 26 mars 2025

Le prochain conseil municipal se tiendra ce mercredi 26 mars 2025 à 18h30 dans la salle du conseil de la mairie. L’ordre du jour sera le suivant :

Administration

1. Modification du règlement du temps de travail – astreinte technique.
2. Modification du règlement de formation – temps de formation et prise en charge.
3. Modification de la participation employeur à la prévoyance.
4. Recours à l’apprentissage – recrutement d’un apprenti pour la rentrée scolaire 2025.

Finances

5. Comptes de gestion 2024.
6. Comptes administratifs 2024.
7. Affectation des résultats 2024.
8. Fixation des taux d’imposition 2025.
9. Budgets primitifs 2025.
10. Subventions aux associations – 1ère session.
11. Subvention au CCAS (Centre communal d’action sociale).
12. Subvention d’équilibre au budget annexe du cinéma Eckmühl.
13. Fixation des tarifs des spectacles de la salle Cap Caval pour la saison 2025-2026.

Travaux

14. Convention pour le projet d’installation d’une borne de marché à Kérity liée aux travaux d’aménagement (tranche 1).

Urbanisme

15. Acquisition de la parcelle BE n°295 – Rue Forn Ar Zall.
16. Cession d’une bande de terrain de la parcelle AO n°377p – Route de Kervilon.
17. Délégations consenties à la maire.

Questions diverses

Décisions prises en vertu de l’article L 2111-22 du CGCT

01-2025 : Marché de service n° 2024CINEMA01- Mission d’étude de programmation et d’assistance à maîtrise d’ouvrage pour la construction d’un cinéma à PENMARC’H – Choix de l’entreprise
02-2025 : Marché de travaux n° 2024BP008 – Construction d’un abri de stockage – Choix des entreprises
03-2025 : Marché de fournitures et services n° 2024BP011 – Fourniture et maintenance de photocopieurs numériques multifonctions – Choix de l’entreprise
04-2025 : Marché de travaux n° 2024BP09 – Pose et dépose d’un garde-corps galvanisé à chaud sur l’estacade de Port-de-Bouc – Choix de l’entreprise

 

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Faada Freddy, en concert ce samedi 29 mars à la salle Cap Caval

Le chanteur sénégalais Faada Freddy signe son grand retour avec un nouvel album intitulé « Golden Cages ». Avec une approche organique, il utilise principalement sa voix, les claquements de mains et les percussions corporelles. L’album propose des titres originaux qui reflètent sa pensée critique et bienveillante, abordant des thèmes tels que la standardisation de la pensée, l’absence de réflexion et la déshumanisation dans la société actuelle. Faada Freddy défend l’idée de liberté en conjuguant conscience et émotion, réflexion et émerveillement. L’album célèbre également les racines africaines du chanteur et exprime son attachement à son pays et à son continent. « Golden Cages » est une ode à la liberté et à l’harmonie, un vibrant chant d’amour pour dépasser les clivages.

Joy Dary en première partie. En 2014, musicienne et chanteuse autodidacte, elle intègre le groupe The Sunvizors, que le succès propulse sur les routes, dans les grands festivals en France et en Europe. Deux albums et plus de 300 concerts plus tard, elle se lance dans une nouvelle aventure, en solo cette fois, sous son propre nom, Joy Dary. Ses influences sont éclectiques : Alabama Shakes, Gaël Faye ou encore Tame impala. Des chansons soul dans l’esprit et pop dans leurs richesses mélodiques, actuelles par leurs sonorités et portées par cette voix particulière, si reconnaissable.

En pratique. Samedi 29 mars à 20h30, salle Cap Caval à Penmarc’h. Tarifs : 25/20 euros, placement libre et debout. Billetterie à l’accueil de la mairie et sur le site internet cap-caval.fr