Une initiative citoyenne a pour projet d’installer une centrale photovoltaïque sur la toiture d’un bâtiment communal. Une réunion d’information à destination des habitants du territoire se tiendra le mardi 29 octobre à 19h à la Maison pour tous au bourg de Penmarc’h.

En juillet dernier, la ville de Penmarc’h et la société citoyenne Kerwatt ont signé une convention de partenariat pour installer une centrale photovoltaïque sur 120 m² de toiture d’un bâtiment des services techniques. Kerwatt s’est appuyé sur l’association bigoudène E-Kêr, engagée dans les transitions énergétique et écologique.

« Nous sommes contents de travailler avec l’association E-Kêr. Dans le cadre du changement climatique, la municipalité est engagée dans les énergies vertes depuis le début du mandat » explique Jean-Paul Stanzel, premier adjoint. « La municipalité porte un autre projet en parallèle, celui d’installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de la halle du tennis club au stade municipal, un appel d’offres est en cours ». « Nous sommes très attachés aux circuits courts, à l’énergie produite et consommée sur la commune ».

Une initiative citoyenne

Le projet pour la toiture des services techniques est estimé à 36 000 euros hors taxes dont la moitié sera financée par une participation citoyenne. Chaque habitant peut s’engager en achetant une ou plusieurs actions. Il devient alors coproducteur d’une énergie verte sur son territoire. Une action coûte 50 euros, 12 actions représentent un panneau solaire. Au total, 63 panneaux seront installés. « L’idée est que les habitants s’emparent du projet, qu’ils participent à la production d’énergie localement pour leur commune » commente Bernard Tanniou de l’association E-Kêr. À la fin du contrat de rachat EDF, la ville deviendra gratuitement propriétaire de la centrale et produira une partie de son énergie.

Un regroupement d’associations bretonnes

L’association E-Kêr s’est regroupée avec d’autres associations bretonnes dans une SAS (Société à actions simplifiées) sous le nom de Kerwatt. Cette SAS Kerwatt a été créée en 2020 à Redon en Ille-et-Vilaine. En l’espace de quatre ans, sept centrales photovoltaïques ont été installées en Bretagne dont une dans le sud Finistère à Clohars-Fouesnant. Trois autres sont en projet en 2024 dont celle de Penmarc’h.

En pratique. Réunion d’information le mardi 29 octobre à 19h à la Maison pour tous au bourg de Penmarc’h. Ouverte à tous les habitants du territoire.

Photo à la une : Jean-Paul Stanzel, premier adjoint et Gilles Mercier, conseiller municipal délégué à l’environnement, entourent les membres de l’association E-Kêr : Cécile Guiochon, Jean-Luc Péron, Guy Le Rhun et Bernard Tanniou.

Mairie de Penmarc’h
02 98 58 60 19

Plusieurs habitants ont signalé en mairie la vente frauduleuse de calendriers sur la commune. La municipalité tient à attirer l’attention de tous sur la recrudescence de ces démarches malhonnêtes, et vous rappelle les mesures pour éviter les mauvaises surprises. Pour rappel, ne communiquez jamais vos coordonnées bancaires et vos données personnelles.

Pour tout signalement, contacts : police municipale – 02 98 58 68 20 – police@penmarch.fr et gendarmerie du Guilvinec : 02 98 58 10 20

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Quentin Leproust, le responsable de l’espace jeunes, vient de dévoiler le programme des vacances d’automne du 21 au 31 octobre. Deux sorties sur Quimper sont prévues le mercredi 23 avec l’inauguration du festival de culture hip hop et le vendredi 25 avec le Pixel festival à la MJC de Kerfeunteun autour jeux vidéo et de la prévention sur les écrans.

Les 24 et 31 octobre, des sessions de sport de combat avec de la boxe et du self défense auront lieu au stade municipal Jos Péron, rue de Kérontec à Penmarc’h. Cette activité est proposée en partenariat avec l’association penmarc’haise Breizh combat, boxe pieds points.

Le mercredi 30 octobre, il y aura une grande journée spéciale inter-espaces jeunes avec des structures gonflables et des défis géants à relever au stade municipal Jos Péron, dans la salle omnisports. Les espaces jeunes de Combrit, Plobannalec et Plomeur ont confirmé leur participation. « L’idée est de créer des interactions entre les jeunes et les animateurs du territoire » explique Quentin Leproust. Les activités sont choisies en concertation avec les adolescents, le programme peut évoluer selon les envies.

« Certaines animations sont proposées selon deux tranches d’âge distinctes 11-13 ans et 14-17 ans. Plusieurs jeunes de 11 ans découvrent pour la première fois la structure, nous souhaitons faire une transition avec le tremplin de l’accueil de loisirs afin que chacun trouve sa place. »

Le programme des vacances d’automne en cliquant ici.

Une structure pour les 11-17 ans

L’espace jeunes est une structure municipale ouverte aux 11-17 ans. Il est situé dans la rue des écoles à Kérity. Le local est aménagé avec un babyfoot, une cuisine pour les préparations culinaires, une cour extérieure sécurisée pour les activités sportives… Tout au long de l’année, des activités par thématique sont proposées : tournois sportifs, sorties, ateliers créatifs, etc. Les adolescents montent leurs projets dans le but de favoriser l’autonomie et la socialisation (organisation de séjours, projets autour de l’environnement, création d’un atelier mécanique, etc.). Ils participent à des échanges intergénérationnels, stages chez les commerçants, Noël solidaire avec le Secours Populaire, etc. Ils s’impliquent dans la vie communale.

Conditions d’accès. L’adhésion annuelle est de 10 euros, elle est indispensable pour fréquenter la structure et participer aux activités. Les tarifs des sorties sont variables selon le programme et les séjours proposés. Un dossier d’inscription est à retirer en mairie ou à l’espace jeunes. Il doit être remis à l’espace jeunes à l’équipe d’animation par l’un des responsables légaux avec les justificatifs (certificat médical, attestation d’assurance, copie des vaccins…).

Contact : Espace jeunes – Rue des écoles à Kérity – 02 98 58 65 31 – 06 45 21 13 05 – Facebook – Instagram

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La municipalité lance un projet participatif d’habitat réversible avec en prévision huit logements individuels et un espace commun. L’association costarmoricaine Hameaux Légers a été retenue. Dans le but de répondre aux demandes d’installation en habitat écologique et abordable, la commune étudie actuellement la faisabilité de créer un éco-hameau sur une parcelle de 3 140 m² rue des Alouettes. “Les élus ont pour ambition de proposer une offre diversifiée de logements accessibles à tous” explique Gilles Mercier, conseiller délégué municipal à l’environnement.

Un premier atelier a eu lieu le 08 octobre en fin de journée, à la salle Cap Caval. Cinquante-trois personnes y ont participé, pour la majorité des ménages qui ont manifesté leur intérêt pour ce nouveau concept. Il y avait aussi des riverains et autres habitants. Thibault Willemin, assistant à la maîtrise d’ouvrage pour l’association Hameaux légers, a présenté le projet de manière générale. Il a ensuite animé des ateliers sous forme de concertation avec les participants. “Ce premier atelier a pour intention d’informer, de prendre la température auprès du voisinage, des habitants du territoire et des partenaires potentiels. C’est l’occasion pour chacun et chacune de donner sa voix et de participer au cadre du projet à l’étude”, précise l’intervenant.

Un second atelier se tiendra le samedi 09 novembre de 10h00 à 17h00 à la Maison pour tous au bourg, en face de la mairie. Trente-huit personnes se sont déjà inscrites pour y participer. Il aura pour intention de rassembler les personnes réellement intéressées et d’explorer les scenarii à travers un atelier de co-construction rassemblant élus, partenaires opérationnels et futurs habitants potentiels.

En pratique. Un second atelier est prévu le samedi 09 novembre de 10h à 17h00 à la Maison pour tous au bourg de Penmarc’h.

Photo à la une : cinquante-trois personnes ont participé au premier atelier à la salle Cap Caval.

Désormais tous les habitants et/ou travailleurs du Pays bigouden, du Cap-Sizun et de Douarnenez peuvent prétendre à des offres avantageuses de covoiturage dans le cadre des trajets domiciles-travail. Les conducteurs sont défrayés 2 euros le trajet et les passagers les payent seulement 0,50 euro.

Réduire ses frais de transport et son empreinte carbone, c’est une possibilité qu’offre le « court-voiturage » (entendez par là des trajets de moins de 80 kilomètres) dans le cadre des allers-retours domicile-travail. Le syndicat intercommunautaire Ouest-Cornouaille aménagement (ou Sioca, qui regroupe les collectivités du pays bigouden, du Cap-Sizun et de Douarnenez) propose désormais une offre attractive de co-voiturage. « C’est un challenge, mais que ce soit pour ceux qui ont des difficultés de pouvoir d’achat, pour les entreprises qui peinent à recruter ou pour l’environnement, on espère que ce sera une bonne idée », lance Philippe Ronarc’h, élu du Sioca et maire de Pouldreuzic.

Trajets à petit frais

Concrètement ça donne quoi ? On s’inscrit sur l’application Karos. Si l’on est conducteur, on est défrayé de 2 euros par trajet (plus 0,10 euro par kilomètre à partir de 30 km), si on est passager, le trajet ne coûte que 0,50 euro (et 0,10 par kilomètres pour des trajets de 31 à 80 kilomètres), le reste étant pris en charge par subvention. « Nous proposons plusieurs options via notre application, notamment du covoiturage entre femmes, ou du covoiturage avec des personnes que l’on connaît », explique Mario Le Bras, salarié de Karos. L’entreprise assure également une « garantie retour » : en cas d’absence du covoitureur pour le trajet retour, le passager est pris en charge par un taxi. « Notre algorithme permet de trouver le meilleur point de rendez-vous et le meilleur covoitureur en fonction de la demande renseignée dans l’application », poursuit Mario Le Bras.

Ouvert dans les communes extérieures

À noter, si vous habitez sur le territoire du Sioca mais que vous travaillez en dehors de ce dernier, vos déplacements peuvent tout de même être pris en charge, dans la limite des 80 kilomètres. De même, si vous habitez en dehors du périmètre, mais que vous travaillez sur l’une des communes du Sioca, vous pouvez également prétendre à ces avantages.

62 000 euros

« Le coût total de cette opération est de 62 000 euros, dont 50 % sont financé par le fond vert de l’État », explique Philippe Ronarc’h. Un bilan de l’expérimentation sera fait dans un an, pour évaluer l’opportunité de la poursuite. Les élus du territoire espèrent pouvoir compter « sur les entreprises pour promouvoir ce service ».

Article paru dans le OUEST-FRANCE du 09 octobre 2024.

Photo à la une : Les élus des collectivités du Pays bigouden, du Cap-Sizun et de Douarnenez ont choisi l’application Karos pour proposer une offre de co-voiturage à moindre coût. | OUEST-FRANCE

En lien avec le Département du Finistère et la Caf (Caisse d’allocations familiales), les deux communautés de communes du Pays bigouden (CCPBS et CCHPB) s’associent pour favoriser l’accès au logement à des jeunes actifs sur le territoire. Avec l’association Ailes (association d’Iroise pour le logement, l’emploi et les solidarités) de Brest, elles expérimentent, pour une durée de trois ans, le dispositif Tiss’âges. Cette solution d’habitat partagé solidaire vise à créer du lien social et à favoriser l’entraide entre les générations. On estime que dans le Pays bigouden, 40 % de la population a plus de 60 ans et près de 4 000 logements ont été identifiés comme étant occupés par une personne seule de plus de 65 ans.

De la cohabitation intergénérationnelle à l’hébergement temporaire

Le dispositif vise à toucher plusieurs publics. La cohabitation intergénérationnelle solidaire offre la possibilité aux personnes de 60 ans et plus, propriétaires ou locataires, d’accueillir un ou plusieurs jeunes de moins de 30 ans en échange d’une contrepartie financière modeste. Le jeune s’engage à effectuer de menus services ou à partager des moments de convivialité avec la personne qui l’héberge. Deux formules, solidaire (60 euros par mois) ou conviviale (150 euros par mois) sont ainsi proposées. L’hébergement temporaire chez l’habitant, un dispositif plus flexible est quant à lui ouvert à toute personne, sans critère d’âge, disposant d’une chambre pour un jeune de 15 à 30 ans (CDD, apprentis, saisonniers, étudiants) à proximité de lieux de travail, de stage ou de formation. La chambre est louée à la nuitée, avec un prix limité à 17 euros, ou au mois, la mensualité ne pouvant excéder 270 euros en période hivernale.

Pour plus d’informations, contact : 02 98 44 45 18 ou tissages@ailes29.org

Téléchargez le dépliant en cliquant ici.

La municipalité organise son premier troc plantes le samedi 19 octobre de 9h à 17h à la Maison pour tous au bourg.

Une quinzaine de participants sont inscrits, des particuliers et aussi des professionnels du territoire parmi eux : Graines de liberté, la ferme de Ker Antrevez, le Jardin du bout du monde, Troyon d’Pom… Jérôme Sanchez, chargé du tri et de la prévention à la CCPBS (Communauté de communes du Pays bigouden sud), animera un atelier sur le compostage tout au long de la journée.

Pour tous les exposants, le matériel sera fourni : tables, chaises et stands parapluie pour l’extérieur. Pour toute question ou inscription, contacter les services techniques municipaux : 02 98 58 89 61 – st@penmarch.fr

Du troc, de la vente et des conseils

Les passionnés des jardins échangeront leurs conseils sur les conditions de culture, l’entretien, l’aménagement, etc. Les particuliers pourront troquer leurs plantes vivaces, aromatiques et potagères, les fruitiers et autres graines. « L’automne est la meilleure période pour planter des bulbes, vivaces et arbustes » explique Mathieu Jaouen, responsable des espaces verts municipaux. Les professionnels vendront des légumes, plantes aromatiques… Jean-Luc Levert, producteur de miel à Saint-Pierre, tiendra un stand et fera goûter sa production.

« Ce troc plantes donne suite au concours des jardins qui a été relancé par la municipalité au printemps dernier. L’idée est de trouver un terrain d’échange pour créer des liens entre les jardiniers » conclut Jocelyne Le Rhun, adjointe municipale.

En pratique. Premier troc plantes : samedi 19 octobre de 9h à 17h à la Maison pour tous au bourg, des stands seront disposés en extérieur à l’entrée de la salle. Accessible à tous, entrée gratuite.

Photo à la une : Gilles Mercier, conseiller délégué à l’environnement ; Jocelyne Le Rhun et Fabienne Le Gars, adjointes ; Mathieu Jaouen, responsable des espaces verts.

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À l’occasion des semaines de la santé mentale, la CPTS du Pays Bigouden (Communautés professionnelles territoriales de santé) organise une soirée de sensibilisation et d’échanges sur la prévention du risque suicidaire, le mardi 15 octobre 2024 à 19h à la salle Cap Caval à Penmarc’h.

Au programme

• 19h-20h : rencontres et échanges libres avec les acteurs ressources du territoire : CMP (Centre médico-psychologique), CMPI (Centre médico-psychologique et infantile), Maison des adolescents, 3114, Réseau Vigilans, PAEJ (Points accueil et écoute jeunes)…
• 20h-22h : théâtre-forum pour échanger sur le sujet à partir de scènes jouées par des acteurs et l’appui théorique de professionnels de la santé mentale.

Vous pouvez être confronté dans votre quotidien professionnel ou personnel à des situations de souffrance psychique ou de crise suicidaire, nous vous invitons à participer à cette soirée pour mieux comprendre et être attentif à ces situations, avoir des clés pour adopter un comportement adapté, repérer et orienter vers les ressources adéquates.

Pour y participer, inscrivez-vous en cliquant ici ou par mail : cpts.pays.bigouden@gmail.com

Un arrosage intégré automatique a été installé au stade municipal Jos Péron sur le terrain annexe, il remplace l’enrouleur. Il s’agit d’un réseau de tuyaux souterrains qui alimentent vingt-quatre arroseurs enterrés. La pression de l’eau les fait sortir de terre. L’arrosage est ainsi mieux réparti et la consommation en eau est plus facile à gérer. Il est programmé selon les besoins du gazon et les conditions météorologiques. La programmation se fait la nuit, il n’y a donc pas de perte par évaporation. Enfin, c’est aussi une économie des coûts d’entretien car tout est planifié.
Les travaux ont été réalisés par l’entreprise Terideal Sirev, entre juillet et septembre 2024. Le coût est de 74 900 euros TTC, réseau hydraulique souterrain compris.

Autre modification sur ce même terrain, une main courante en aluminium et acier galvanisé remplace celle en béton qui datait de 1987. Les nouveaux matériaux résistent mieux aux intempéries et ne nécessitent pas d’entretien. Les travaux ont été confiés à l’entreprise Jardin service de Plabennec pour un coût total de 51 700 euros TTC. Les Cormorans sportifs, l’équipe de football de Penmarc’h qui compte plus de 300 licenciés, utilisent régulièrement ce terrain pour les entraînements et certains matchs.

“La municipalité accorde de l’intérêt au bon fonctionnement des activités sportives et à l’accueil des usagers” explique Jean-Paul Stanzel, premier adjoint.

Un robot tonte au stade Pierre Boënnec

Depuis fin septembre, un robot tonte autonome assure l’entretien des 7.200 m² au stade Pierre Boënnec. L’appareil peut être programmé et piloté à distance depuis un smartphone. Il présente plusieurs avantages : gain de temps et réduction des coûts de main d’œuvre, une tonte régulière et constante. Il est beaucoup moins bruyant que la tondeuse hélicoïdale utilisée auparavant et respecte davantage les normes environnementales. Le robot est loué 212 euros HT par mois, pour une durée de trois ans.

Photo à la une : Mathieu Jaouen, responsable des espaces verts ; Jean-Pierre Savina et Jean-Paul Stanzel, élus municipaux ; David Lucas, agent des espaces verts.