Café-théâtre parisien Ma famille en or Dimanche 17 novembre à 17h00 Salle Cap Caval à Penmarc’h
La nouvelle comédie de Joseph Gallet (Dîner de Famille) et d’Elodie Wallace (Le mariage nuit gravement à la santé).
La famille Demasure a gagné le gros lot : un mystérieux milliardaire argentin leur lègue sa fortune et ils doivent se rendre en Amérique du sud pour toucher l’héritage. Mais il y a une condition : ils doivent tous être présents devant le notaire pour signer les papiers et récupérer l’argent qui va changer leur vie. Petit bémol, Ariane, la sœur, ne veut plus entendre parler d’eux. Elle est partie faire le tour du monde depuis trois mois et personne ne sait où elle est ! Prêts à tout pour toucher leur argent, ils vont se lancer à sa recherche pour tenter de la retrouver au gré des indices qu’elle a semés sur sa route. Ce road trip imprévu et chaotique aux quatre coins du globe sera l’occasion pour eux de régler leurs comptes, déterrer les secrets et découvrir les raisons qui ont poussées cet inconnu à leur léguer sa fortune.
Jean-Jacques Vanier – À la recherche de la recherche Vendredi 08 novembre à 20h30 Salle Cap Caval – Penmarc’h
Ma mère ne venait pas m’embrasser dans mon lit quand… Ma mère ne venait pas m’embrasser… Ma mère ne venait pas… etc., etc.
7 tomes, 4 mille pages, 143 mille lignes de : « Ma mère ne venait pas m’embrasser dans mon lit quand j’étais petit. » Voilà, selon mes sources, ce qu’aurait été le projet initial de : À la recherche du temps perdu.
Ceux qui ont eu des lignes à copier pendant leur scolarité réalisent que 143.000, ça fait beaucoup de lignes. Quand j’étais petit, j’avais eu mille fois : « Je ne dois soulever les jupes des filles dans la cour de récréation. » Que le Grand Proust me croque, ça aussi c’est beaucoup de lignes et de temps perdu. Et c’est beaucoup de feuilles de papier aussi.
À la recherche de la recherche. Un “hommage” aux amoureux et aux victimes de Proust. Un “hommage” drolatique à nos maîtres d’école, à nos profs de maths et aux chauffeurs de bus ou chauffeuses d’ailleurs de bus. Un “hommage” à ma mémé et aux jeux des mille francs. Encore un “hommage” qui tournera en règlement de compte, aux mamans de Marcel Proust et de Gaston Gallimard. Et surtout une porte grande ouverte sur “l’Édifice immense du souvenir”. Ceux de Marcel, les miens, les vôtres.
À la recherche de la recherche. Une lecture-spectacle pour salons (mondains ou pas), pour jardins, bords de rivière, cour d’école, … pour Théâtre et pour amphithéâtre aussi.
À la recherche de la recherche. Présentée en avant-première au festival d’Avignon 2023, cette Lecture-Spectacle a connu un tel succès qu’on ne peut que lui prédire un formidable avenir. À suivre…
Commentaires
“C’est parti pour 75 minutes d’éclat, de splendeur et de rire…” Plus que vous recommander ce spectacle, je vous le souhaite. Lmv : VIVANT MAG.
“Pour l’inconditionnel de Jean-Jacques Vanier que je suis, je pourrais manquer d’objectivité pour vous dire que j’ai trouvé son dernier Opus “À LA RECHERCHE DE LA RECHERCHE” absolument EXTRAORDINAIRE…Vous n’avez qu’à vérifier si j’exagère.” Jean-Philippe Daguerre. Auteur Metteur en scène (Avignon 2023).
Infos pratiques
Vendredi 08 novembre 2024 à 20h30
Tarifs : 18/15 euros
Nouveauté billetterie sans commission en cliquant ici – Mairie de Penmarc’h : 02 98 58 60 19 et sur place à la salle 30 mn avant la représentation
Mois du Doc : Voyage de documentation de Madame Anita Conti : ce samedi 09 novembre 2024 à 20h30, salle Cap Caval. En présence de la réalisatrice Louise Hémon.
17h, nouvelle librairie l’Atlantide au bourg de Penmarc’h : lecture de textes d’Anita Conti par la comédienne Sandrine Bodénès.
À partir de 20h, hall de la salle Cap Caval : exposition de photos, d’articles de presse et de documents sur les deux bateaux de Saint-Guénolé qui ont porté son nom.
À partir de 20h30, salle Cap Caval : projection du nouveau film documentaire de Louise Hémon avec de débats animés par Roger Hélias.
Première femme océanographe française à pénétrer le monde fermé des marins, Anita Conti embarque en 1952 sur un chalutier pour partager la dure vie des pêcheurs de morue en Atlantique. Seule avec sa caméra, ses appareils photo et soixante hommes durant six mois. Partant de ses images, d’extraits lus de ses journaux de bord et d’archives audio de sa voix, le film dessine le portrait de cette femme pionnière qui avait pressenti la nécessité de la protection des océans.
En coproduction avec Tébéo, Tébésud et TVR, les chaînes locales de Bretagne. Avec le soutien de la région Normandie et de la région Bretagne en partenariat avec le CNC, avec le soutien de la SCAM, de la SACEM, de la Procirep et de l’Angoa. Avec la participation de la Cinémathèque de Bretagne, des Archives de Lorient et de Mémoire Normande.
Louise Hémon, la réalisatrice
Louise Hémon réalise des films et met en scène des pièces de théâtre. Formée à l’Atelier documentaire de la Fémis, ses documentaires de création (L’homme le plus fort, Une vie de château, Salomé) sont montrés dans des festivals internationaux tels que Hot Docs-Toronto, FIFIB-Bordeaux, dokumentART, Côté Court-Pantin et diffusés sur Arte et Canal+. Ses spectacles (Le Grand débat, Les océanographes, La Mort), co-signés avec Emilie Rousset, sont présentés au Festival d’Automne à Paris et Princeton French Theatre Festival-USA. Mêlant documentaire et fiction, on peut aussi voir son travail vidéo dans des musées comme le Centre Pompidou, la fondation Lafayette Anticipations, le Mucem… Son premier long-métrage de fiction, L’Engloutie, a été tourné en 2024.
Le Mois du Doc
Daoulagad Breizh coordonne le Mois du doc dans tout le Finistère. En 2024 : 41 films et 120 projections dans 80 villes du Finistère, 45 invité.e.s vont sillonner le département à la rencontre des publics.
Miz Du, le mois noir en breton… C’est, depuis 2000, la découverte de films documentaires, des rencontres avec des cinéastes et des projections qui réchauffent, dans des lieux improbables parfois, sur tout le territoire, au plus près des habitant.e.s, dans les villes, les campagnes et sur les îles. C’est un rendez-vous itinérant porté collectivement par un réseau de partenaires fidèles qui ont cette même envie de partager des films et de créer des espaces de dialogue. Cette année encore de nouvelles structures rejoignent l’aventure du Mois du doc.
Le 02 novembre, le Préfet du Finistère Alain Espinasse a fait une visite de courtoisie très conviviale à bord du prince d’Eckmühl au port de Saint-Guénolé, en présence de Robert Bouguéon, président de la station ; des patrons Jean-Luc Levert et Sébastien Le Prince, de la maire Gwenola Le Troadec et de tout l’équipage.
𝗢𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗵𝗼𝗰𝗼𝗹𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗡𝗼𝗲̈𝗹 au profit de la station. En partenariat avec la chocolaterie de Patrick Robinet : sachet de fritures, tablettes de chocolat noir et lait, ballotin et pâtes de fruits. A offrir ou tout simplement pour se faire plaisir !
Téléchargez le bon de commande : https://kky.fr/1lccJnd
A déposer au plus tard le 15/11 au local de la station au 44, rue Lucien Larnicol à Saint-Guénolé.
Pendant les vacances d’automne, les enfants ont participé à des rencontres intercentres sur les thèmes des olympiades au stade municipal Jos Péron à Penmarc’h, à un spectacle de contes à la salle Croas Malo à Treffiagat, à une séance de cinéma avec les enfants de Combrit, etc. Une grande boum déguisée à la salle Cap Caval a clôturé ces vacances. Animée par un DJ, elle a rassemblé une centaine d’enfants du Pays Bigouden.
Ces activités ont pour but de créer des liens entre les enfants et animateurs des autres centres de loisirs, de partager des moment festifs et conviviaux.
L’ALSH est une structure municipale ouverte à l’année pour les enfants âgés de 3 à 12 ans. Un programme est établi en fonction des tranches d’âge et respecte le rythme des enfants. Contact : Rue des écoles à Kérity – 02 98 58 76 93 – alsh@penmarch.fr
La Semaine bleue a eu lieu 30 septembre au 06 octobre. Organisée chaque année dans toute la France, cet événement s’adresse aux 60 ans et plus. À Penmarc’h, le CCAS, l’association Santé Bigoudène, l’EHPAD de Menez Kergoff et le service enfance-jeunesse ont proposé plusieurs animations sur le thème « Bouger ensemble pour entretenir la flamme ». Au programme, il y avait une balade nature dans les marais du Ster avec Steven Hélias de la CCPBS, une séance de sport adapté, un après-midi dansant à la salle Cap Caval avec Gordini, une dictée et des olympiades intergénérationnelles. Ces activités ont attiré plus de 200 personnes.
Françoise Maine, du commerce Ti ar Paper à Saint-Guénolé, a offert une plume à chaque participant de la dictée, merci à elle.
Le repas des anciens a clôturé cette semaine festive avec plus de 300 participants. Un grand merci aux adolescents de l’espace jeunes qui ont tenu les vestiaires, les élèves du lycée Chaptal qui ont assuré le service à table et l’équipe de restauration scolaire qui a mis les petits plats dans les grands.
Photo à la une : repas des aînés à la salle Cap Caval
La municipalité lance un projet participatif d’habitat réversible avec en prévision huit logements individuels et un espace commun. L’association costarmoricaine Hameaux Légers a été retenue. Dans le but de répondre aux demandes d’installation en habitat écologique et abordable, la commune étudie actuellement la faisabilité de créer un éco-hameau sur une parcelle de 3 140 m² rue des Alouettes. “Les élus ont pour ambition de proposer une offre diversifiée de logements accessibles à tous” explique Gilles Mercier, conseiller délégué municipal à l’environnement.
Un premier atelier a eu lieu le 08 octobre en fin de journée, à la salle Cap Caval. Cinquante-trois personnes y ont participé, pour la majorité des ménages qui ont manifesté leur intérêt pour ce nouveau concept. Il y avait aussi des riverains et autres habitants. Thibault Willemin, assistant à la maîtrise d’ouvrage pour l’association Hameaux légers, a présenté le projet de manière générale. Il a ensuite animé des ateliers sous forme de concertation avec les participants. “Ce premier atelier a pour intention d’informer, de prendre la température auprès du voisinage, des habitants du territoire et des partenaires potentiels. C’est l’occasion pour chacun et chacune de donner sa voix et de participer au cadre du projet à l’étude”, précise l’intervenant.
Un second atelier se tiendra le samedi 09 novembre de 10h00 à 17h00 à la Maison pour tous au bourg, en face de la mairie. Il s’adresse aux habitants qui souhaitent réellement s’investir. Trente-huit personnes se sont déjà inscrites pour y participer. Il aura pour intention de rassembler les personnes réellement intéressées et d’explorer les scenarii à travers un atelier de co-construction rassemblant élus, partenaires opérationnels et futurs habitants potentiels. Pour plus d’informations : urbanisme@penmarch.fr
En pratique. Un second atelier est prévu le samedi 09 novembre de 10h à 17h00 à la Maison pour tous au bourg de Penmarc’h.
Photo à la une : cinquante-trois personnes ont participé au premier atelier à la salle Cap Caval.
La municipalité et les agents des espaces verts ont organisé un troc plantes le samedi 19 octobre à la Maison pour tous au bourg. La première édition a attiré environ 300 visiteurs.
Une quinzaine de particuliers et de professionnels ont exposé parmi eux : Léna Deleplace, productrice de fleurs ; Graines de liberté, la ferme de Ker Antrevez, le Jardin du bout du monde, Troyon d’Pom, Jean-Luc Levert et son miel de Penmarc’h… Jérôme Sanchez, chargé du tri et de la prévention à la CCPBS (Communauté de communes du Pays bigouden sud), a animé un atelier sur le compostage et il a fait des démonstrations de broyage tout au long de la journée.
Autre temps fort, une tombola était organisée, il fallait découvrir le poids d’une citrouille. Une centaine de personnes y ont participé. C’est Barbara Le Saout qui s’est rapprochée de la bonne réponse qui était de 64 kg. Elle remporte un panier garni avec des produits offerts par les professionnels présents au troc plantes.
Ce troc plantes avait pour but d’échanger des conseils, de troquer ou de vendre des fleurs, plants, arbres, pots de miel… Il donne suite au concours des jardins qui a été relancé par la municipalité au printemps dernier.
Les exposants et visiteurs sont satisfaits, l’événement sera reconduit l’année prochaine.
Photo à la une : quelques stands étaient exposés à l’extérieur de la Maison pour tous.
Du 14 au 18 octobre, à l’occasion de la Semaine du goût, l’équipe du restaurant scolaire municipal a proposé des plats selon ses envies. À la carte : gratin de pâtes et mousse au chocolat de Catherine, filet de poisson et yaourt grec de Sophie, couscous et tarte au citron meringuée d’Anthony, chili con carne d’Emmanuelle, sauté d’agneau et moelleux au chocolat de Karine. La Semaine du goût est une marque déposée et un évènement autour du goût et de la gastronomie qui a lieu chaque année en octobre. Le 18 octobre, dernier jour avant les vacances, les enfants étaient déguisés.
Régulièrement, les restaurateurs font découvrir de nouvelles saveurs aux enfants des écoles et de l’ALSH (accueil de loisirs). « Les plats sont différents de ce que je mange à la maison, j’aime goûter de nouvelles saveurs » explique un enfant. À venir, à la carte des vacances d’automne : biryani végétarien, un plat à base riz basmati et d’épices ; pâtes bio aux fruits de mer, poulet à l’ananas, etc. Les restaurateurs préparent les plats selon les produits de saison et des événements, ils proposeront un menu Halloween le 31 octobre avec un feuilleté momie, des pâtes bolognaises à l’encre de seiche, fromage, meringue Halloween et glace vanille.
240 repas par jour
Chaque jour, l’équipe de restauration confectionne 240 repas à la cuisine centrale de Penmarc’h et les livre dans les trois écoles de la commune. Les menus sont présentés à une commission composée par des représentants du restaurant scolaire, du périscolaire, des trois écoles, des associations des parents d’élèves et de l’adjoint référent. Les restaurateurs privilégient les produits de saison avec des plats faits “maison”, les circuits courts, plusieurs variétés de légumes proviennent de la serre municipale. Chaque semaine, un menu végétarien est proposé et 25% des aliments sont issus de l’agriculture biologique.
Photos : les enfants déguisés au restaurant scolaire de l’école Auguste Dupouy au bourg
Une initiative citoyenne a pour projet d’installer une centrale photovoltaïque sur la toiture d’un bâtiment communal. Une réunion d’information à destination des habitants du territoire se tiendra le mardi 29 octobre à 19h à la Maison pour tous au bourg de Penmarc’h.
En juillet dernier, la ville de Penmarc’h et la société citoyenne Kerwatt ont signé une convention de partenariat pour installer une centrale photovoltaïque sur 120 m² de toiture d’un bâtiment des services techniques. Kerwatt s’est appuyé sur l’association bigoudène E-Kêr, engagée dans les transitions énergétique et écologique.
« Nous sommes contents de travailler avec l’association E-Kêr. Dans le cadre du changement climatique, la municipalité est engagée dans les énergies vertes depuis le début du mandat » explique Jean-Paul Stanzel, premier adjoint. « La municipalité porte un autre projet en parallèle, celui d’installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de la halle du tennis club au stade municipal, un appel d’offres est en cours ». « Nous sommes très attachés aux circuits courts, à l’énergie produite et consommée sur la commune ».
Une initiative citoyenne
Le projet pour la toiture des services techniques est estimé à 36 000 euros hors taxes dont la moitié sera financée par une participation citoyenne. Chaque habitant peut s’engager en achetant une ou plusieurs actions. Il devient alors coproducteur d’une énergie verte sur son territoire. Une action coûte 50 euros, 12 actions représentent un panneau solaire. Au total, 63 panneaux seront installés. « L’idée est que les habitants s’emparent du projet, qu’ils participent à la production d’énergie localement pour leur commune » commente Bernard Tanniou de l’association E-Kêr. À la fin du contrat de rachat EDF, la ville deviendra gratuitement propriétaire de la centrale et produira une partie de son énergie.
Un regroupement d’associations bretonnes
L’association E-Kêr s’est regroupée avec d’autres associations bretonnes dans une SAS (Société à actions simplifiées) sous le nom de Kerwatt. Cette SAS Kerwatt a été créée en 2020 à Redon en Ille-et-Vilaine. En l’espace de quatre ans, sept centrales photovoltaïques ont été installées en Bretagne dont une dans le sud Finistère à Clohars-Fouesnant. Trois autres sont en projet en 2024 dont celle de Penmarc’h.
En pratique. Réunion d’information le mardi 29 octobre à 19h à la Maison pour tous au bourg de Penmarc’h. Ouverte à tous les habitants du territoire.
Photo à la une : Jean-Paul Stanzel, premier adjoint et Gilles Mercier, conseiller municipal délégué à l’environnement, entourent les membres de l’association E-Kêr : Cécile Guiochon, Jean-Luc Péron, Guy Le Rhun et Bernard Tanniou.