Le choucas des tours, appelé aussi corbeau choucas ou corneille des clochers, prolifère dans le Finistère ici à Penmarc’h. Il construit son nid dans des cavités en hauteur, souvent dans les cheminées, en utilisant des branchages, feuilles, de la paille et de la terre. L’accumulation de ces matériaux obstrue les conduits de VMC, cheminées, et impacte les chaudières, inserts et poêles. La densité de ces nids provoque des feux de cheminée et/ou des intoxications au monoxyde de carbone. Dominique Riquier, résidant de Penmarc’h, nous alerte sur les conséquences dramatiques. « Ma compagne a été intoxiquée au monoxyde de carbone, il y a près de trois ans. Elle est passée du service de réanimation au service de neurologie et vit aujourd’hui dans un Ephad » commente t’il. Chaque année, en France, environ 4 000 personnes sont victimes de ce type d’accident et une centaine d’entre elles décèdent.

Une plaquette pour sensibiliser

Une plaquette a été réalisée avec la caution scientifique de la LPO (Ligue de protection des oiseaux) et illustrée par David Jambon, dessinateur de bande dessinée. L’association Mouez Penmarc’h a participé au co-financement de l’opération. L’objectif est d’informer et de sensibiliser le plus grand nombre d’habitants.

Éditée dans un premier temps à mille exemplaires, elle sera adressée aux quelques 300 mairies du Finistère. Une réédition est possible à la demande. Le document illustre la nidification des choucas dans les conduits et offre plusieurs solutions répertoriées pour palier à ce phénomène. La vigilance est donc de rigueur, les moyens de prévention consistent à couvrir le faitage de la cheminée par une solide grille car le choucas a un bec très solide, à installer un détecteur mixte de fumée et monoxyde de carbone (obligatoire dans toutes les habitations depuis 2010), à gainer en inox la cheminée, ou à recourir à deux ramonages par an, un en automne et l’autre au printemps, période de nidification ou les feux se font de façons discontinus. Vous pouvez trouver la plaquette en mairie.

Un court-métrage de 6 minutes est en cours de préparation, il sortira à la fin de cet été.

Téléchargez la plaquette d’information et de sensibilisation en cliquant ici.

Un projet franco-québécois sur les risques de submersion et d’érosion est actuellement mené à Penmarc’h. Il est conduit entre l’UBO (Université de Bretagne Occidentale) et l’UQAR (Université du Québec à Rimouski). Il est réalisé dans le cadre d’une co-construction de scénarios d’adaptation des territoires maritimes aux risques côtiers dans un contexte de changements climatiques. Alice Charbonneau, étudiante d’un Master en développement régional et territorial à l’Université du Québec, travaille sur ce projet. Elle organise un forum participatif avec les habitants le 12 mars prochain à Penmarc’h. Une expérience similaire est menée en parallèle sur la commune de Sainte Félicité au Canada, dans le Bas-Saint-Laurent.

Le contexte

Le niveau de la mer augmente, les tempêtes sont plus fréquentes et plus sévères, elles fragilisent tout particulièrement le littoral. Deux phénomènes naturels s’accélèrent : l’érosion marine par les mouvements de la mer qui érodent les rivages, la submersion marine en inondant temporairement la façade maritime. Dans ce contexte de changements climatiques et de concentration des enjeux humains et bâtis sur les côtes, les risques côtiers d’érosion et de submersion marines sont en constante augmentation. La commune de Penmarc’h est particulièrement exposée. L’étudiante québécoise souhaite mieux cerner la compréhension et l’adaptation d’une collectivité face à ces changements.

Un forum ouvert aux habitants le samedi 12 mars 2022 de 9h à 16h avec un déjeuner offert

Dans le cadre d’une participation citoyenne, la parole est donnée aux habitants. Un forum ouvert est organisé le samedi 12 mars 2022 à Penmarc’h. Les participants s’engagent toute la journée, ils détermineront les thèmes à débattre dès le matin, ceux par lesquels il se sentent concernés. Cette journée est imaginée comme un espace de dialogue ouvert à tous qui amènera à une réflexion commune sur les enjeux climatiques avec les habitants. Ce forum est organisé en partenariat avec les acteurs du territoire : la CCPBS (Communauté de Communauté du Pays Bigouden Sud), l’UBO et aussi l’UQAR pour le Québec. Par l’organisation de cette journée, Alice Charbonneau souhaite recueillir les opinions des Penmarc’hais pour mieux comprendre leur réalité. L’étudiante veillera à l’animation de la séance afin de stimuler les discussions et de permettre aux habitants de tirer profit de cette expérience unique. L’objectif est de mieux comprendre les spécificités et les enjeux de notre territoire. Les échanges permettront d’entreprendre une réflexion globale qui contribuera à l’avancement des connaissances sur l’adaptation aux risques d’érosion et de submersion aux changements climatiques sur la commune.

Appel à candidatures

Pour mener à bien ce projet, trente personnes sont recherchées pour participer à cette expérimentation. Les participants doivent résider à Penmarc’h à l’année, depuis au moins un an. Cette rencontre est l’occasion de donner la parole aux habitants dont les aînés qui pourront apporter leur vision sur l’évolution de la commune dans ce contexte de changements climatiques. Le forum est organisé sur la journée du samedi 12 mars 2022 de 9h à 16h. Des collations et un repas seront offerts. À l’issue de cette expérimentation, un rapport de conclusions sera établi pour faire émerger la réflexion globale.

Infos pratiques. Forum participatif sur les risques littoraux, le samedi 12 mars 2022 de 9h à 16h à la salle Cap Caval. Inscriptions dès à présent et jusqu’au 05 mars 2022. Contact : alice.charbonneau@uqar.ca

Photo à la une : la maire Gwenola Le Troadec, l’étudiante québécoise Alice Charbonneau, l’adjoint au maire et référent des risques littoraux Jean-Marc Bren et le responsable des services techniques Gwénaël Perdriel.

Visite à Océanopolis

Pendant les vacances de février, une soixantaine d’enfants ont fréquenté quotidiennement l’Accueil de Loisirs (ALSH) de Penmarc’h. Les animateurs ont organisé des activités autour de la mer et des fonds marins. Les enfants ont participé à l’atelier “l’orchestre de la mer” à Haliotika au Guilvinec. Cet atelier leur a permis de reconnaître des éléments sonores de l’univers de la pêche (port de pêche, criée, vagues, oiseaux de mer, chalutier, chant des poissons, tempête, etc.) et de les reproduire avec des objets de leur quotidien. Les plus grands ont visité Océanopolis à Brest. À l’occasion du Sommet international des océans, le Centre National de Culture Scientifique a aménagé un pavillon pour sensibiliser le public aux enjeux de la préservation des océans. Ce sommet international s’est tenu à Brest du 08 au 11 février 2022 et a rassemblé une trentaine de chefs d’état.

La deuxième semaine s’est déroulée en musique avec la fabrication d’instruments, des quiz et des jeux musicaux… La représentation « Show Batterie », animée par un musicien professionnel, a permis aux enfants de différencier les sons grave et aiguë, les différents rythmes associés aux danses…

Les inscriptions pour les vacances de printemps auront lieu du mardi 08 au mardi 15 mars 2022. Les enfants de Penmarc’h qui fréquentent la structure régulièrement restent prioritaires.

Photo à la une : visite à Haliotika

Accueil de loisirs
Rue des écoles 29760 Penmarc’h
02 98 58 76 93

Le 22 février 2022, Agathe et Sarah, deux élèves de Terminale Bac Pro ASSP (Accompagnement, soins et services à la personne) du lycée Laënnec de Pont-l’Abbé, sont intervenues dans la classe des CP-CE1 de l’école Thomas Donnard à Saint-Guénolé. Elles ont mené une action de sensibilisation auprès des jeunes élèves sur la thématique de l’hygiène dentaire et du brossage des dents. Un temps d’échange qui a permis d’expliquer la nécessité du brossage des dents, le moment et la fréquence, comment éviter une carie… Cette action a été réalisée dans le cadre de leur épreuve du Bac « Éducation à la santé ». À l’issue de la séance, les enfants ont reçu un tableau qui répertorie leurs brossages. Suite à cette expérience, les deux lycéennes rédigeront un dossier qui sera présenté lors de l’oral à leur examen.

Photo à la une : les deux lycéennes Agathe et Sarah, lors de leur présentation à l’école Thomas Donnard

La mairie de Penmarc’h recherche des saisonniers pour la saison estivale et pour les périodes des vacances scolaires. Plusieurs postes d’animateurs sont à pourvoir à l’accueil de loisirs et à l’espace jeunes ; d’agents d’accueil au site des phares, au camping et à la mairie ; des moniteurs au centre nautique ; des agents d’entretien ; des manutentionnaires aux services techniques… En 2021, une cinquantaine de jeunes pour la plupart ont été recrutées pour renforcer les services municipaux. Chaque année, la commune réaffirme ainsi sa volonté d’ouvrir la porte de l’emploi saisonnier aux jeunes afin de leur offrir une première expérience professionnelle. Ces embauches sont nécessaires au bon fonctionnement des services publics pour une commune touristique telle que Penmarc’h qui atteint au plus fort de la saison les 17 000 habitants. Les candidatures sont à adresser dès à présent au service des ressources humaines de la mairie.

Téléchargez le formulaire pour candidater en cliquant ici.

Photo à la une : les saisonniers recrutés en 2021

À compter de mars 2022, le SPANC (Service public d’assainissement non collectif), compétence de la CCPBS (Communauté de communes du Pays Bigouden Sud), effectuera un contrôle de maintenance des fosses septiques. À Penmarc’h, 1 403 habitations sont concernées. Un contrôle de maintenance et d’entretien des fosses septiques doit être réalisé au maximum tous les 10 ans. Ce contrôle permet de vérifier le bon fonctionnement des fosses, d’anticiper l’apparition de bouchons qui se formeraient dans les canalisations et ainsi éviter tout débordement. Cette démarche a pour but d’accompagner les propriétaires et de limiter l’impact sur l’environnement.

La Communauté de communes du Pays Bigouden Sud lance une campagne de contrôles du bon fonctionnement des installations d’assainissement non collectif à Penmarc’h à partir de mars 2022. La mission a été confiée aux techniciens du bureau d’études B3e. Cela concerne 1 403 habitations qui n’ont jamais été contrôlées ou qui ont une date de contrôle expirée. Depuis le 1er janvier 2018, la CCPBS a étendu son champ de compétences à l’assainissement. Le Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC) s’exerce à l’échelle du Pays Bigouden Sud. Conformément à l’arrêté du 27 avril 2012 relatif aux modalités d’exécution de la mission de contrôle des installations d’assainissement non collectif, le SPANC du Pays Bigouden Sud a l’obligation de contrôler périodiquement (tous les 10 ans) le fonctionnement des assainissements autonomes. La mission est de veiller au bon état des équipements de collecte et de traitement des eaux usées domestiques et de garantir l’absence de pollution et de risques sanitaires et environnementaux.

Réalisation des contrôles

En mars 2022, la CCPBS et son prestataire B3e vont démarrer la campagne de contrôles à Penmarc’h. La mission sera assurée par les techniciens de B3e. Les représentants du service sont autorisés à pénétrer dans les propriétés privées. Pour faciliter le travail du technicien :

• La présence de l’usager ou d’un représentant est indispensable.
• Les ouvrages équipant l’installation d’assainissement doivent être accessibles (regard du bac à graisse, de la fosse, du préfiltre et du traitement).
• Les documents relatifs à cette installation (photographies, factures, justificatifs d’entretien et/ou contrat d’entretien, etc.) devront être présentés lors de ce contrôle.

Préalablement à cette visite de contrôle, un avis a été adressé à l’usager dans un délai minimum de 15 jours avant l’intervention. Dans l’impossibilité d’être présent ou représenté, l’usager devra prévenir le bureau d’étude B3e au plus vite pour convenir d’un nouveau rendez-vous (par téléphone au 02 98 83 75 12, du lundi au vendre de 8h30 à 12h30 et de 14h à 17h). Le propriétaire s’expose à des obligations de travaux :

• si l’absence d’installation est constatée,
• si l’installation est non conforme,
• s’il y a un défaut d’entretien.

Protocole Covid

La CCPBS et B3e ont mis en place un protocole d’intervention spécial Covid afin d’assurer la protection de votre santé et celle des techniciens lors des interventions.

Rappel des missions de contrôle issues du règlement de service du SPANC

Le SPANC s’assure de la conformité et de la bonne exécution des nouvelles installations. Il s’assure aussi que les dispositifs d’Assainissement Non Collectif (ANC) ne sont pas à l’origine de problèmes de salubrité publique, de pollution ou de problèmes de voisinage. Le SPANC exerce une mission d’information et de communication auprès des usagers. Il procède à trois types de contrôles :

• La vérification technique de la conception, de l’implantation et de la bonne exécution des installations neuves ou à réhabiliter.
• La vérification périodique de leur bon fonctionnement et de bon entretien des ouvrages existants.
• Le contrôle dans le cadre des ventes.

Dans le cas où les installations ne seraient pas accessibles, elles seraient considérées comme non conformes et feront l’objet d’une contre-visite majorée, après avoir été rendues accessibles par le propriétaire. En cas de refus d’accès et de contrôle, les agents du SPANC empêchés dans l’exercice de leur mission, pourront solliciter l’autorité de police compétente afin de constater et/ou de faire constater l’infraction. Le refus d’accès et de contrôle peut donner lieu au paiement d’une majoration tarifaire de la visite.

Photo à la une : l’équipe de B3E, de gauche à droite Théo Bannier, Gaël Rolland et Lucie Michel.

02 98 87 80 58
www.ccpbs.fr

Fin janvier 2022, les parents d’élèves et les enseignants de l’école du Bourg, Auguste Dupouy, soutenus par les élus, se sont mobilisés devant l’école pour maintenir l’ouverture des quatre classe de l’établissement. Ce rassemblement était organisé par l’amicale laïque, toujours prête à se mobiliser. Quatre vingt trois enfants sont déjà inscrits pour la rentrée de septembre 2022. “Les élus sont confiants et optimistes”, “nous restons tout de même attentifs” confie l’adjoint au maire Gilles Bernard.

L’équipe pédagogique travaille déjà sur la prochaine rentrée, l’ensemble des projets qu’ils soient culturels, scientifiques, sportifs, pédagogiques, environnementaux… ne sont pas remis en question et bien au contraire. Tous ces efforts sont faits dans le seul but de veiller au bien-être des enfants et rassurer leurs parents. Les enseignants et les élus travaillent ensemble dans une même concertation.

L’arrivée de nouvelles familles sur la commune

La période de pandémie et les confinements répétitifs ont vu l’arrivée de nouvelles familles à Penmarc’h, en quête de bien-être et d’une meilleure qualité de vie. Suite à l’annonce de la mobilisation, quatre nouvelles inscriptions ont été enregistrées dans l’établissement, il y en aura d’autres probablement. “Nous envoyons un signal fort aux enfants et aux familles, l’école va se stabiliser. Les chiffres annoncés pour la rentrée prochaine sont au-dessus du seuil de fermeture, soit supérieur à 24 élèves par classe” commente la maire Gwenola Le Troadec. Les élus soutiennent et accompagnent les actions menées par les enseignants. 

Les inscriptions en mairie

Dès à présent, les parents qui souhaitent inscrire leurs enfants dans les deux écoles publiques de la commune, au Bourg et à Saint-Guénolé, doivent se rapprocher de la mairie. Ce nouveau mode de fonctionnement permet de mieux maîtriser les flux et de faire le lien avec les activités extrascolaires municipales. L’école est un lieu de vie où les enfants ont leurs repères, leurs cercles d’ami(e)s, située à proximité de leur lieu de domicile, une école de référence et de quartier.

Photo à la une : Gilles Bernard, adjoint au maire référent de la vie scolaire

Pendant les vacances de février, les adolescents Penmarc’hais se mobilisent pour venir en aide aux habitants vulnérables. Ils participent activement aux collectes organisées avec le CCAS (Centre communal d’action sociale). Ils sont aussi motivés par le dispositif argent de poche dont le lancement a débuté de mois-ci. Il leur permet de réaliser des missions pour leur commune en lien avec les services municipaux tout en étant rémunéré. Toujours pendant les vacances, l’Espace Jeunes a lancé son programme autour du nouvel an chinois, d’une murder party et d’un stage d’initiation au théâtre…

Collecte de denrées alimentaires, d’hygiène et d’entretien

Les jeunes sont toujours volontaires et enthousiastes pour aider. En ce mois de février, les adolescents de l’Espace Jeunes et du CMJ (conseil municipal des jeunes) s’associent au CCAS de Penmarc’h pour collecter des denrées alimentaires, des produits d’hygiène et de d’entretien. Une première collecte a eu lieu le mercredi 09 février à la médiathèque de Kérity. “Nous sommes heureux de participer à cette action de solidarité sur notre commune, nous aimerions renouveler cette expérience” commente la dizaine de jeunes mobilisée ce matin. Les organisateurs ont déjà collecté des conserves de fruits, légumes, des pâtes… des produits d’hygiène, de l’alimentation animale. “Les dons ont été généreux, nous sommes satisfaits de cette première collecte” argumente François, animateur à l’espace jeunes. Certains penmarc’hais ont contacté le CCAS afin de connaître les attentes et les besoins. Les jeunes et les services municipaux remercient chaleureusement les généreux donateurs. Deux autres collectes sont programmées le jeudi 10 février de 9h à 12h et de 13h30 à 16h30 au CCAS à Saint-Guénolé. Le Samedi 19 février de 9h à 12h en mairie avec la participation du CMJ.

Dispositif argent de poche

Pendant les vacances, plusieurs jeunes ont fait le choix d’intégrer les services municipaux via le dispositif argent de poche qui vient d’être lancé par la mairie. Ce nouveau dispositif permet aux 14-17 ans de découvrir le milieu professionnel tout en s’investissant pour leur commune en échange d’une rétribution financière. Une vingtaine de jeunes sont déjà inscrits pour les vacances d’hiver et de printemps. Ceux qui ont intégré la collectivité participent aux missions des espaces verts, à l’archivage à l’état civil… Avec l’arrivée des beaux jours, les missions s’élargiront autour des structures de loisirs… Le nombre de place n’est pas limité, les inscriptions se font continuellement à l’espace jeunes : 02 98 58 65 31  et par mail : ej@penmarch.fr

Un stage de théâtre

Les 15, 16 et 17 février, l’Espace Jeunes organise un stage de théâtre. Il est animé par la comédienne et l’actrice Sandrine Bodénés. Ce stage s’adresse aux jeunes qui souhaitent s’initier à l’univers scénique et théâtral, l’improvisation et l’humour. Le nombre de participants est limité à 15, il reste quelques places. Renseignements et inscriptions à l’espace jeunes : 02 98 58 65 31  et par mail : ej@penmarch.fr

L’équipe municipale félicite et encourage les jeunes Penmarc’hais. Un grand merci pour tous les engagements et les élans de solidarité.

Photo à la une : collecte de denrées et autres produits à la médiathèque de Kérity

Vous avez été près de 200 (199 exactement) à répondre au questionnaire sur les résidences secondaires que nous avons publié dans le Pen’mag de décembre 2021, par Facebook, par notre site internet ou par Citykomi. La mairie vous en remercie. Vos réponses aux treize questions posées nous aident à déterminer le profil des propriétaires, la fréquence d’occupation, les conditions d’acquisition ainsi que les souhaits de s’établir définitivement à Penmarc’h.

Les profils des propriétaires

Les personnes qui ont répondu à ce questionnaire sont majoritairement des sexagénaires (36%) et des quinquagénaires (27%), originaires d’Ile-de-France (31%) et de Bretagne (24%). Viennent ensuite les Pays de la Loire (9%) et les autres pays de l’Union européenne (9%). Les propriétaires le sont depuis plus de 10 ans dans 27% des cas et depuis plus de 20 ans pour 28% d’entre eux. Plus de trois propriétaires sur quatre (77%) indiquent avoir hérité de leur résidence secondaire. C’est un chiffre très élevé, qui témoigne d’un fort attachement à la commune. Les maisons restent dans les familles, dont Penmarc’h est véritablement le port d’attache, même si les propriétaires n’y habitent plus. Une partie significative des répondants manifeste l’intention de s’y établir à brève échéance (12%) ou à plus long terme (26%). Ces réponses confortent un sentiment répandu : un nombre conséquent d’actifs proches de la retraite à l’intention de faire de Penmarc’h sa commune de résidence dès que les obligations professionnelles qui les retiennent ailleurs auront disparu.
L’envie de vivre à Penmarc’h est là, mais le travail (pour 41% des répondants) ou celui du conjoint (21%) ne le permet pas encore. Les périodes de confinement ont conduit à télétravailler parfois sur la commune (42%). En ce qui concerne les retraités qui hésitent à franchir le pas, le manque de professionnels de santé est souvent invoqué (36%).
Des résidences pas si secondaires…
Autre enseignement important du questionnaire, près d’une résidence secondaire sur trois est en réalité occupée plus de quatre mois par an (29%) ! Un autre tiers des répondants (32%) y passe 2 à 4 mois chaque année.

Pour mémoire, Penmarc’h compte officiellement 37% de résidences secondaires.

Consultez l’infographie de la consultation en cliquant ici.